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 [1er Septembre 1939-Campagne de Pologne] La Guerre? Genre!

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Totaly Feliks!

Polska
Marukaite chikyuu
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I'AM
Totaly Feliks!


    Date d'inscription : 24/05/2010
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[1er Septembre 1939-Campagne de Pologne] La Guerre? Genre!  Vide
MessageSujet: [1er Septembre 1939-Campagne de Pologne] La Guerre? Genre!    [1er Septembre 1939-Campagne de Pologne] La Guerre? Genre!  Icon_minitimeJeu 28 Oct - 2:10

Genre ! Totalement pas possible... quand je pense que France et United Kingdom s'inquiètent pour moi. C'est genre, mais trop inutile quoi, comme si Germany allait faire quoi que ce soit contre moi ! La première guerre mondiale lui a genre, coûté sa super grande chambre contre un placard à balai. Et puis, de toute manière, quoi qu'il arrive, j'ai mes poney avec moi et Liet pour se prendre les baffes à ma place, si c'est pas du soutient ça !

C'est une mâtiné genre, mais totalement tranquille à la World Académy W, une journée banale pourun premier septembre quoi. Allez savoir pourquoi mais l'imbécile Autrichien de la chambre d'à côté est déjà en train de jouer du piano, à midi quoi ! Péniblement je me lève de mon lit trop confortable au drap rose. En trainant les pieds je rejoins mon armoire pour choisir les vêtements que je vais mettre aujourd'hui... j'hésite un peu pour la couleur de la chemise, rose bonbon ou rose Saumon ? Genre, là est trop la question... mais comment je peux espérer réfléchir avec un boucan pareil ! Finalement, j'opte pour la chemise saumon et me dirige vers le mur où se trouve le téléphone. Doucement, en essayant de garder mon calme, j'appelle Hungary, elle me doit un service depuis que j'ai pris Prussia chez moi, elle peut bien faire taire son pianiste pour moi...


« allô ! Hungy ! Ouais, c'est genre moi, Polska. Ouais ! Comment tu vas depuis le temps ? Moi ? Genre trop bien. Prussia ? Non, pas de nouvelle. Nan, mais tu crois quoi ? Liet et moi on s'en est totalement débarrassé et depuis que lui et son frangin sont partis de chez moi, moi, c'est plus mon problème. »

Pris par ma conversation genre, mais trop sympa avec Hungary, je m'installe dans le fauteuil à côté du téléphone, piochant allégrement dans l'assiette de Paczki que Liet m'a si gentiment préparé. D'ailleurs je devrais lui écrire, j'en ai presque plus. Et puis c'est pas comme s'il avait pas le temps de m'en faire, plutôt que de prendre du bon temps avec ses potes baltes chez Russia et me négligeant ouvertement ! Grignotant mes pâtisseries préparées avec amour, je continue ma parlote avec Hungary

« Tient, d'ailleurs, en parlant de frangin... ouais, le blondinet genre Ultra-gominé qui a fait parler de lui au lycée. Ouais et bin figure toi que France et Iggy pense qu'il va m'attaquer. T'y croit celle là ? Hein ? Genre ! Il crèche déjà chez toi et Austria ? Enfin en même temps vu que j'ai hérité de sa chambre après la guerre... »

Alors que Hungary m'explique que Russia et Germany sont pote maintenant et que moi je mets du vernis rose sur les ongles de pied, j'ai un double appel, Liet évidemment. Après m'être excusé auprès de Hungary je prends ce poltron de Lithuany qui flippe encore une fois pour moi. Genre, mais il devrait trop se détendre. Premiers mots, ou plutôt premiers cris de Liet : « PORANDO ! ! PORANDO ! ! J'ai entendu Russia dire que Germany allait t'attaquer aujourd'hui ! », ce à quoi je lui réponds, totalement conscient des priorités qui m'accablent, que j'ai genre, mais plus du tout de pâtisserie, les derniers Paczkis n'ayant pas survécu à la conversation téléphonique avec Hungary. Pourtant, allez savoir pourquoi, ce n'est pas la priorité de Liet, qui me répète que Germany va m'attaquer. Mais qu'est-ce qu'ils ont tous avec ça ! Ça devient genre, mais trop barbant à la longue, en plus, à cause des jérémiades de Liet mon pinceau a vernis a dérapé...

« Genre ! Zen Liet ! Germany va rien faire, de toute manière qu'est-ce qu'il oserait faire hein ? Ma porte est fermée et j'ai pas l'intention de sortir aujourd'hui et vu que j'ai repeint ma porte et que j'ai mis un faux panneau "Peinture Fraiche", il n'osera pas entrer ! Genre, j'y ai pensé »

C'est vrai ça ! c'est pas comme ci ce premier septembre 1939 allait être marquant pour l'histoire du monde non plus, ça va être une journée totalement banale...

[HRP : les Paczki sont des beignets en polonais, pas sûr que ce soit vraiment une spécialité locale parce qu'ils ressemblent énormément à ceux qu'on trouve en France^^]
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LUDWIG

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    Date d'inscription : 16/05/2010
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[1er Septembre 1939-Campagne de Pologne] La Guerre? Genre!  Vide
MessageSujet: Re: [1er Septembre 1939-Campagne de Pologne] La Guerre? Genre!    [1er Septembre 1939-Campagne de Pologne] La Guerre? Genre!  Icon_minitimeVen 29 Oct - 20:21

    La rentrée 1939 allait être une rentrée mouvementée. C'était que s'était promis Ludwig après avoir passé ses congés estivaux à mettre au point son dernier plan. Les années avaient passés, toutefois rien n'avait fait oublier à l'Allemand l'humiliation qu'il avait subi de la part de la classe Europe, et du petit nouveau : Alfred. L'Allemand pouvait être patient, calme et mesuré quand il en éprouvait le besoin. Mais à trop le pousser dans ses retranchements, on ne pouvait que récolter que des bras cassés.

    Et les nombreuses moqueries dans les couloirs, lettres sardoniques dans sa boite aux lettres (ou glissées sous sa porte) ne pouvaient que mener à une chose. La guerre. Mais une guerre sans alliés à sa solde ne peut que mener à l'échec. Ludwig avait réussi à s'en trouver quelques-uns, une poignée d'élèves dans cette université, mais cela valait mieux que rien. Feliciano laissait à désirer, mais la présence du Japon dans son camp était loin d'être aussi négligeable. L'Allemand l'avait vu en plein entrainement, et n'avait pu que se féliciter d'avoir su s'attirer l'attention d'un tel personnage.

    Le premier coup d'éclat qu'il se consistait à mener était de retrouver son « territoire » (autrement dit, sa chambre) qu'on avait offert gracieusement à Pologne. Ludwig grinçait déjà des dents en imaginant son ex-chambre repeinte entièrement rose, emplie de taffetas et de dentelles, de poneys en peluches et d'objets tout aussi niais et féminins. Mein Gott. Dire qu'il payait toujours le loyer de cette chambre en plus du placard qu'il habitait depuis sa défaite.

    Ludwig remonta le couloir du secteur Europe du pensionnat. Il ne prit même pas la peine de savoir si d'autres élèves allaient assister à la scène. Ils pouvaient bien alerter les autorités compétentes : ainsi tout le monde saurait qu'on ne se moque pas de l'Allemagne impunément. Arrivé devant la porte de Pologne, l'Allemand se retint de pousser un cri étranglé. Ce panneau était immonde. Polonais. L'écriture rose avec points en forme de coeur rivalisait avec les fausses fleurs collées, et un petit poney bondissant sur une colline bleue.

    PEINTURE FRAICHE ♥


    Soit Feliks était un être inconscient, soit il avait des tactiques de défense qui frisait le ridicule. Ludwig leva le poing pour frapper à la porte, mais se ravisa juste à temps. Il n'était pas venu pour lui rendre une visite de courtoisie, mais pour reprendre son bien. Il fallait qu'il se conduise avec plus de brutalité, qu'il lui fasse comprendre que c'était lui le maître ! Refusant tout de même de défoncer la porte (il y tenait quand même, c'était la porte de SA chambre), Ludwig tourna le bouton de porte. Ouvert. L'Allemand poussa brutalement la porte, tâchant de rester digne même s'il devait avancer cahin-cachant en enjambant des peluches et des broderies non finies.

    - Feliks. Je serais direct. Je reprends cette chambre qui m'appartient dès aujourd'hui. Je te laisse jusqu'à ce soir pour vider les lieux.

    Ah, çà lui avait manqué de donner des ordres de ce ton ferme et inébranlable. Montrant bien qu'il ne bougerait pas d'ici, Ludwig s'assit dans l'énorme pouf. Sans voir la petite fiole de vernis rose qui trônait là et se renversa sur son pantalon. Scheisse.


Spoiler:
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[1er Septembre 1939-Campagne de Pologne] La Guerre? Genre!

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